Des médias locaux ont révélé que les autorités émiraties ont haussé les salaires de retraite des militaires de l’ordre de 70%, pour écarter toute velléité de troubles qui envahissent d’autres pays arabes.
Tous les employés des ministères de la défense et des forces armées seront inclus dans cette mesure qui entrera en vigueur à partir du mois de mars, sur ordre du prince Khalifa Ben Zayed AlNahyane.
Cette mesure est la troisième du genre dans ce troisième plus grand pays producteur de pétrole.
Dans une démarche de réforme politique, les autorités ont annoncé la semaine dernière l’organisation d’une deuxième session des élections du Conseil national consultatif de la confédération à partir du mois de septembre prochain.
Une première session avait été organisée en 2006 et à laquelle ont participé 6600 électeurs, dont 1160 femmes, soit moins de 1% de population.
Plus tôt ce mois-ci, un plan d’investissement dans l’infrastructure du coût de 1,6 milliards de dollars a été lancé pour les régions nord des émirats, défavorisées par rapport à Dubaï et Abu Dhabi, métropoles centrales très luxueuses.
Parmi les autres mesures divulguées, un accord conclu avec les grandes surfaces commerciales en vue de baisser de 40% le prix des denrées élémentaires et principales, à partir du mois de mars, et de subventionner le prix du riz et du pain à partir du mois d’avril prochain, pour remédier à la hausse de leurs prix.
Ces mesures surviennent alors que le citoyen émirati dispose de l’un des revenus les plus élevés du monde avec le montant de 47 milles dollars par an.
Des sources locales ont également annoncé à la Reuters que les autorités envisagent de renoncer à leur plan visant à élever le prix de l’essence.
Plus tôt des intellectuels émiratis avaient exigé des élections libres, mais aucune contestation populaire ne s’est pourtant encore manifestée dans ce pays où 80% de la population sont des étrangers (et parmi eux beaucoup d'employés sous-payées, mal logés, et issus du Pakistan, Bangladesh ou des Philippines...).
Tous les employés des ministères de la défense et des forces armées seront inclus dans cette mesure qui entrera en vigueur à partir du mois de mars, sur ordre du prince Khalifa Ben Zayed AlNahyane.
Cette mesure est la troisième du genre dans ce troisième plus grand pays producteur de pétrole.
Dans une démarche de réforme politique, les autorités ont annoncé la semaine dernière l’organisation d’une deuxième session des élections du Conseil national consultatif de la confédération à partir du mois de septembre prochain.
Une première session avait été organisée en 2006 et à laquelle ont participé 6600 électeurs, dont 1160 femmes, soit moins de 1% de population.
Plus tôt ce mois-ci, un plan d’investissement dans l’infrastructure du coût de 1,6 milliards de dollars a été lancé pour les régions nord des émirats, défavorisées par rapport à Dubaï et Abu Dhabi, métropoles centrales très luxueuses.
Parmi les autres mesures divulguées, un accord conclu avec les grandes surfaces commerciales en vue de baisser de 40% le prix des denrées élémentaires et principales, à partir du mois de mars, et de subventionner le prix du riz et du pain à partir du mois d’avril prochain, pour remédier à la hausse de leurs prix.
Ces mesures surviennent alors que le citoyen émirati dispose de l’un des revenus les plus élevés du monde avec le montant de 47 milles dollars par an.
Des sources locales ont également annoncé à la Reuters que les autorités envisagent de renoncer à leur plan visant à élever le prix de l’essence.
Plus tôt des intellectuels émiratis avaient exigé des élections libres, mais aucune contestation populaire ne s’est pourtant encore manifestée dans ce pays où 80% de la population sont des étrangers (et parmi eux beaucoup d'employés sous-payées, mal logés, et issus du Pakistan, Bangladesh ou des Philippines...).
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