samedi 10 décembre 2011

La nouvelle dictature est en marche : Comment l'U.E va se saisir du contrôle des économies nationales d’un simple coup de stylo !


Oubliez les millions d’Européens qui vont être affectés, l’UE ne va même pas prendre la peine de soumettre au vote sa tentative de saisir le contrôle des économies des états membres par ses propres clones parlementaires, elle préfère bien mieux changer le traité de Lisbonne sous les pouvoirs que les Eurocrates se sont accordés à eux-mêmes.


Après avoir mis en scène des referendums nationaux jusqu’à ce qu’ils aient les résultats escomptés, le traité de Lisbonne passa avec une clause obscure de “passerelle” par son article 126 par le protocole 12, qui donne à Bruxelles le pouvoir de changer ses termes sans avoir recours à aucun vote, populaire ou parlementaire.

Cette décision ne requiert aucune ratification au niveau national. Cette procédure pourrait de fait mener à des changemens rapides et signifiants”, déclare un texte confidentiel émanant du président de l’UE Herman Van Rompuy.

Ceci veut dire que tout effort de changer le traité afin de créer une “union fiscale” ou en d’autres termes, imposer un contrôle centralisé sur toutes les économies des états membres de la part de Bruxelles serait simplement accompli par un simple trait de plume et n’impliquerait aucunement un vote des parlements nationaux ou des députés européens.

Ceci donnerait alors tout pouvoir à la Commission Européenne “d’imposer des mesures d’austérités sur les pays de la zone euro qui sont soumis au package de sauvetage économique, usurpant ainsi les fonctions des gouvernements de pays comme la Grèce, l’Iralnde ou le Portugal”, rapporte le journal britannique “Guardian”.

Ceci fait partie de l’agenda des technocrates de saisir “un contrôle intrusif sur les politiques budgétaires nationales”.

“Pourquoi s’embarasser d’une vieille relique barbare, la démocratie, alors que le bon vieux fascisme fait l’affaire” rapporte Zero Hedge; “voici donc comment une clique d’eurocrates incompétents, cleptomanes et corrompus usurpent tout le pouvoir dans un régime maintenant totalement contrôlé par Goldman Sachs.

Comme nous l’avons souligné auparavant, la crise de la dette de la zone euro a graissé les rouages d’un coup d’état technocrate sur l’ensemble du continent, mené par une cabale d’hommes de Goldman Sachs. 



Les mêmes terroristes financiers responsables de l’effondrement économique ont maintenant exploité la crise pour s’imposer comme les sauveurs et superviser un coup d’état banquier, avec les sbires de Goldman Sachs maintenant en contrôle à la fois de l’Italie et de la BCE. Les clones de Goldman Sachs ont également saisi les positions clés du pouvoir économique en Belgique, en Allemagne, en France et en Irlande.

L’objectif du coup est d’exploiter la crise de la dette de la zone euro comme un véhicule par lequel ils pourront créer un super-état fédéral européen qui transférera le reste du contrôle sur les affaires nationales à Bruxelles. Les mondialistes ont déjà commencé le processus, plaçant deux de leurs sbires pour remplacer les premiers ministres issus d’élection en Italie et en Grèce. 



Les Grecs ont répondu à l’effondrement à venir de l’Euro en retirant massivement leurs économies des comptes en banque.

Beaucoup de Grecs retirent leur argent de leurs comptes épargne parce qu’ils n’ont plus de travail, font face à des impôts qui grimpent ou ont peur que leur pays ne soit forcé de quitter la zone Euro”, rapporte le magazine allemand Der Spiegel aujourd’hui, notant que les dépôts bancaires ont chuté de 13-14 milliards d’Euros en Septembre et en Octobre, avec ce déclin s’accélérant même pour Novembre. 

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