Aujourd’hui, tout le monde connaît cet extrait de l’Apocalypse de saint Jean : « Et il se fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur la main droite ou sur le front et que personne ne put acheter ni vendre sans avoir la marque ou le nom de la bête, ou le nombre de son nom ».
Question qui se pose à la lumière des informations diffusées aux Etats-Unis : la crise alimentaire qui frappe les plus démunis sera-t-elle un prétexte pour condamner les pauvres au marquage s’ils veulent manger ?
Aux Etats-Unis, des conditions drastiques commencent à être imposées pour obliger les individus voulant bénéficier d’une aide alimentaire à se faire « marquer » d’une manière ou d’une autre. Explication des autorités fédérales : la technologie d’identification biométrique permettra de réduire la fraude. Cette technologie permet d’identifier une personne sur la base de caractéristiques physiques telles que les empreintes digitales, la forme de la main, les yeux du visage, etc.
Ce sujet avait été abordé par plusieurs sites d’informations depuis de nombreuses années. On se souviendra par exemple et tout particulièrement de Serge Monast qui, dans les années 80, a compilé de nombreux documents de première main pour annoncer ce sombre futur qui tend à devenir la réalité du jour.
Selon certains sites d’informations américains, un système d’identification biométrique est actuellement mis en œuvre à un certain niveau en Arizona, en Californie, dans le Connecticut, le Massachusetts, le New Jersey et New York ainsi que le Texas : le scan du doigt. Plusieurs autres Etats s’engagent dans la mise en pratique de cette technologie. Il est cependant difficile de déterminer en l’état actuel l’évolution et les systèmes d’identification biométrique qui seront communément adoptés par les Etats américains au fur et à mesure du déroulement de la crise.
D’aucuns évoquent des calendriers d’exécution en fonction de priorités et de considérations internes. Ils affirment que les processus actuellement développés de contrôle des individus ne donnent pas lieu à des problèmes particuliers et rien ne laisse donc entrevoir des objections massives à l’utilisation et au développement d’une diffusion large de la technologie RFID pour ceux qui ont faim.
Source : L'IESI
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