mercredi 8 février 2012

Les Américains en proie a la misère abandonnent leurs chiens et leurs chats



La censure fonctionne bien sur le Huffington Post, alors puisque l’esprit démocratique de l’autre côté de l’atlantique semble différent du notre, je mets ici les pans de mon article censuré.
Un conseil fuyez le Huffington Post comme la peste, sauf à vouloir perdre votre indépendance d’esprit !
Avec la crise économique, les abandons d’animaux se multiplient aux États-Unis :
De plus en plus d’Américains abandonnent leurs chiens et leurs chats dans des refuges pour animaux, pris à la gorge par les contraintes économiques.Ils devient de plus en plus difficile pour certains propriétaires d’assumer des dépenses de 1.000 dollars (715 euros) par an, voire plus, en nourriture, services vétérinaires et autres frais. Les refuges se remplissent au Connecticut, au Nebraska, au Texas, en Utah et dans d’autres États, alors que dans le même temps, la crise financière restreint le nombre d’adoptants potentiels.
Entre six et huit millions de chiens et chats sont abandonnés chaque année dans les refuges : la moitié sont euthanasiés, les autres sont adoptés, selon une estimation de l’organisation de protection animale Humane Society of the United States. Selon un sondage Associated Press-Petside.com, un propriétaire sur sept dit avoir réduit les dépenses pour ses animaux cette année. Parmi ceux qui font des économies sur ce type de frais, un sur quatre affirme avoir sérieusement pensé à l’abandon.
Et pour ce qui sont obligés de le faire effectivement, c’est un déchirement, comme l’explique Pam Wiese, porte-parole de la Humane Society, qui note à quel point ces animaux abandonnés pour cause de crise économique sont en bonne santé, bien dressés, avec leurs vaccinations à jour…Le coût moyen annuel d’un chien est d’environ 1.400 dollars (1.000 euros), celui d’un chat est de 1.000 dollars (715 euros), selon une enquête menée par l’American Pet Products Association, qui estime que 231 millions d’animaux domestiques -sans compter les poissons- vivent dans plus de 71 millions de foyers américains.
En fait tous n’amène pas leurs animaux dans les refuges, les plus pauvres les abandonnant purement et simplement, ce qui fait que des meutes entières composées de milliers de chiens se forment autours des grandes villes.
Tout comme ses 40 à 50 millions d’américains vivant en-dessous du seuil de pauvreté (900 dollars environ soit 687 euros), mais une grande partie de ces pauvres ne touchent quasiment plus rien, étant obligé de vivre dans les sous-sol des grandes villes (Là-bas on les appellent les hommes taupes).
A noter que 17 États sont déjà considérés comme étant en faillites, ne pouvant même plus verser les pensions à leurs fonctionnaires, obligés de retourner travailler (quand cela est possible bien sur…).
Quand les gens sont confrontés à une épreuve, ils se tournent habituellement vers leur famille pour être soutenus.Aux États-Unis, les familles tendent à être atomisées, dispersées à travers plusieurs États. Elles ont parfois déjà du mal à se tolérer quand elles se rassemblent pourThanksgiving7ou Noël, alors elles pourraient trouver difficile de s’entendre dans les mauvais moments. Il y a déjà trop de solitude dans ce pays, et on peut douter que l’effondrement économique y remédie.
Aux États-Unis, la plupart des gens tirent leur nourriture d’un supermarché, qui est approvisionné de très loin en utilisant des camions réfrigérants. Beaucoup de gens ne s’ennuient même pas à faire des courses et mangent seulement de la restauration rapide. Quand les gens cuisinent, ils cuisinent rarement à partir de zéro. Tout cela est très malsain, et l’effet sur le tour de taille de la nation est visible clairement depuis l’autre côté du parc de stationnement. Un grand nombre de gens, qui se dandinent jusqu’à leur voiture, ne semblent pas préparés à la décadence de leur pays. S’ils devaient soudainement commencer à vivre comme les Russes, ils s’éclateraient les genoux.
Aux États-Unis, la médecine est lucrative, l’accès au soin devient de plus en plus difficile sinon impossible pour la majeure partie des habitants.
Côté éducation, les emprunts étudiants sont écrasants, les enfants étant véhiculés jusqu’aux immenses écoles urbaines, ce qui à court terme rend la situation de plus en plus compliqués à gérer pour les familles modestes, entraînant illettrisme et ignorance.
Le rêve américain qui tourne au cauchemar !
217 banques américaines placés en faillite depuis 18 mois dont la dernière en date(la 8ème plus grosse faillite depuis 1980 en la personne de l’ex puissant courtier américain MF Global)laisse 2870 personnes sur le carreau…
C’est cela le rêve américain et encore n’est-ce qu’une infime partie de la réalité américaine et si le Huffington Post refuse de voir la réalité en face, je n’y peux rien, mais en censurant ce genre d’articles, il trompe ses lecteurs….
Des sans-abris dormant sur le parking d’une église, à Dallas, aux États-Unis…
Le 25 janvier 2011 la compagnie pétrolière vénézuélienne CITGO a célébré le démarrage de sa sixième année de distribution de gasoil de chauffage aux familles de bas revenus des États-Unis. Près de 150.000 foyers à travers les États-Unis ont bénéficié de ce programme en 2011, pour un total de 70 millions de dollars.
En 2010, près de 500.000 personnes aux États-Unis ont bénéficié de ce programme, environ 850 grands immeubles d’appartements, 245 refuges pour sans-abris, et environ 250 communautés indigènes.
Jackturf !

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