La journaliste Françoise Laborde a été sommée par Michel Boyon, le président du CSA, d'assister aux séances de travail de l'assemblée dont elle est l'une des conseillères, rapporte lepoint.fr. Pourtant, comme l'expliquent nos confrères, Françoise Laborde doit officiellement se reposer, la journaliste étant en arrêt maladie après avoir chuté... d'un prunier.
Mais c'est au contraire son goût pour le raisin qui l'a trahie et qui a provoqué l'agacement de ses camarades au sein du Conseil supérieur de l'audiovisuel. En effet, les Sages ont pu suivre dans les médias les sorties médiatiques de Françoise Laborde partie assister à une dégustation de vins dans un café bordelais ou encore à la "fête de la fleur" au salon Vinexpo, toujours à Bordeaux, le 23 juin (notre photo). Outre les photos, la journaliste prend même le temps de répondre à des interviews...
« Mais lundi 4 juillet, pour Michel Boyon, ça commence à bien faire. Le matin, Laborde était encore présente au micro d'Europe 1 pour assurer la promotion de son livre (...) mais absente l'après-midi quand il fallait endurer les auditions. À l'issue de celle-ci, le président du CSA, furibard, tape du poing sur la table et exige sa présence pour la plénière du lendemain, le mardi 5 juillet.
Laborde obtempère. "Curieusement, elle arrive avec un appareil pour son épaule. Comment se fait-il qu'elle ne le portait pas à la soirée Vinexpo ?" s'amuse-t-on dans les couloirs du CSA. » détaille alors lepoint.fr.
On doute désormais que les prochaines réunies du conseil se terminent pas une dégustation de grands crus...
La SECU n'aura qu'a apprecier ... et revoir ses exigences !
Honnêtement elle a une attitude déplorable !
RépondreSupprimerMerci de l'info
Sylvie